La Suisse n’est pas menacée parce qu’elle serait trop petite — mais parce que certains la rapetissent
Il faut enfin écrire ce que beaucoup murmurent : la Suisse n’est pas menacée parce qu’elle serait trop petite.
Elle est menacée parce que ceux qui devraient la défendre rapetissent.
Nous pouvons résister à Bruxelles.
Nous pouvons tenir face à Washington.
Nous pouvons contenir les réseaux d’influence étrangers.
Ce que nous ne pouvons pas surmonter, c’est la lâcheté intérieure — celle qui se niche au cœur même de l’État.
Le Conseil fédéral : le maillon faible qui faillit à son serment
Depuis des années, le Conseil fédéral ne gouverne plus : il enregistre.
Il n’applique plus la Constitution : il la contourne.
Il ne défend plus notre ordre juridique : il le sous-traite.
FATCA accepté sans vote,
droit de l’UE repris sans référendum,
normes étrangères appliquées automatiquement,
soumission aux cadences de l’OTAN et de Washington,
neutralité piétinée sans mandat populaire :
Notre exécutif est devenu ce qu’aucune démocratie saine ne peut tolérer :
un guichet d’enregistrement du droit étranger.
Un Conseil fédéral qui manque de courage manque à son serment.
Et un État qui renonce à lui-même invite les prédateurs à entrer.
Les prédateurs extérieurs n’ont qu’une force : celle que nous leur offrons
L’UE avance parce que certains parlementaires déroulent le tapis rouge.
Washington impose ses lois extraterritoriales parce que Berne ne dit plus non.
Les puissances numériques pénètrent nos infrastructures parce que nos bureaucrates confondent “innovation” et abdication.
Le vrai problème n’est pas “eux”.
Le vrai problème est “nous”.
Les organisations qui minent la Suisse de l’intérieur
Economiesuisse, « Ouverte Souveraine », la FER, le Mouvement Européen Suisse, une partie de l’administration fédérale :
tous œuvrent — consciemment ou non — à désarmer la Suisse.
Leur logiciel est toujours le même :
– « Nous sommes trop petits pour décider seuls. »
– « Il faut s’aligner. »
– « La souveraineté est dépassée. »
– « Sans l’UE, nous mourrons. »
C’est historiquement faux.
Économiquement faux.
Moralement faux.
La Suisse n’a jamais prospéré par la soumission — mais par sa singularité.
Le vrai danger : les Suisses de l’intérieur qui renoncent
Il existe une catégorie bien précise de compatriotes :
les résignés, les défaitistes, les ingénieurs du renoncement.
On les trouve partout :
– dans certains partis,
– dans les offices fédéraux,
– sur les plateaux TV,
– dans les commentaires LinkedIn.
Profil constant :
incapacité à imaginer une Suisse forte,
fascination pour les puissances étrangères,
peur panique de l’autonomie,
besoin infantile d’être validés par l’extérieur.
Ce ne sont pas des adversaires : ce sont des lests.
Dans une montgolfière, on les lâche pour monter.
La vérité historique : une nation est sauvée par moins de 3 % de ses citoyens
Jamais la majorité n’a sauvé un pays. Jamais.
Ce sont les déterminés.
Ceux qui n’attendent pas l’autorisation.
Ceux qui refusent l’esprit de capitulation.
Ceux qui tiennent quand les autres tremblent.
Souveraineté Suisse rassemble cette minorité qui change l’Histoire.
Nous ne serons ni impressionnés, ni intimidés, ni ralentis.
Message clair à ceux qui veulent se coucher
Si vous n’avez ni vision, ni courage, ni colonne vertébrale :
soutenez-nous financièrement — ce sera déjà beaucoup.
Mais ne vous mettez pas sur notre route.
Nous avançons.
Nous écarterons les poids morts.
La Suisse n’a plus le luxe d’entretenir ceux qui renoncent.
Conclusion : la Suisse ne tombera jamais par la force — seulement par la lâcheté
Les prédateurs extérieurs testent nos défenses.
Les lâches intérieurs testent notre patience.
Nous vaincrons les premiers.
Nous neutraliserons les seconds.
Parce qu’une Suisse debout vaut mieux que mille Suisses à genoux.