Souveränität oder Untergang: Der Fahrplan zur Rettung der Unabhängigkeit der Schweiz

Durch Ludovic Malot, économiste & entrepreneur

Ce texte n’est pas destiné au grand public. Il s’adresse directement au Conseil fédéral et aux parlementaires. Il pose une question simple, mais décisive : sommes-nous encore un État souverain, ou le gestionnaire local d’un ordre juridique et monétaire qui nous échappe ? Chaque axe ci-dessous oppose un problème précis à une solution immédiate.

À l’attention du Conseil fédéral et des Parlementaires

Il fut un temps où la Suisse dictait ses lois au monde. Aujourd’hui, elle les subit.

Ce que nous vivons n’est pas une simple série de réformes techniques. C’est une dissolution progressive de l’État souverain.

Conduite par le droit étranger, entretenue par la dépendance monétaire, accélérée par l’abandon de la neutralité — et couverte par le silence d’une partie de nos élites.

Pourtant, la Constitution fédérale est sans ambiguïté :

  • Art. 2 Cst.La Confédération protège la liberté et les droits du peuple ; elle assure l’indépendance et la sécurité du pays.

  • Art. 5a Cst.Principe de subsidiarité.

  • Art. 173 Cst.Le Parlement veille à la neutralité.

  • Art. 190 Cst.Le droit international est applicable… dans le respect de la Constitution.

Mais dans les faits, ce sont désormais les normes extérieures qui dictent notre vie intérieure.

Il est temps de rompre avec cette soumission systémique.

1. Stopper net les Accords Unilatéraux III — Retour au libre-échange de 1972

Les « Bilatérales III » sont tout sauf bilatérales.

Elles instaurent :

  • une reprise automatique du droit européen

  • la juridiction de juges étrangers

  • des sanctions automatiques

  • la fin de tout référendum réel

Ce n’est pas un partenariat — c’est un protectorat juridique.

La Suisse n’a pas besoin de tuteurs. L’accord de libre-échange de 1972 suffit amplement, sans soumission politique.

« Un État qui n’écrit plus son droit n’est plus un État. » – Jacques Ellul

2. Révoquer toutes les dispositions de droit européen dans le droit suisse

Exemple concret : les pilotes d’hélicoptère de la Rega, exclus à 60 ans non pour des raisons médicales, mais par application mécanique du droit européen (normes EASA).

Voilà où mène la technocratie :

  • on sacrifie l’expérience

  • on affaiblit la sécurité réelle

  • on obéit à Bruxelles sans débat démocratique

La Suisse doit reprendre la souveraineté de ses normes — dans l’aviation comme dans tous les domaines.

3. Restaurer la souveraineté monétaire — L’or comme socle stratégique

Sans monnaie souveraine, il n’y a ni indépendance, ni liberté politique.

Feuille de route immédiate :

  • Rapatriement intégral des réserves d’or en Suisse

  • Interdiction constitutionnelle de toute vente future

  • Adossement partiel du franc à l’or

  • Séparation stricte entre marchés dérivés et monnaie réelle

« Donnez-moi le contrôle de la monnaie, et je me moque de ceux qui font les lois. » – Mayer Amschel Rothschild

L’or est notre assurance contre l’effondrement du système financier international. Il est aussi la garantie ultime de notre neutralité.

4. Audit public intégral de la BNS et de ses liens avec Wall Street

La Banque nationale suisse n’est pas un État dans l’État. Elle n’a aucun mandat pour spéculer sur les marchés américains ou soutenir des intérêts étrangers.

Nous exigeons :

  • Audit indépendant

  • Publication des contreparties étrangères

  • Exposition réelle aux marchés anglo-saxons

  • Fin de la soumission aux fonds spéculatifs étrangers

5. Création d’un Fonds souverain suisse en actifs tangibles

La Norvège l’a fait. Singapour aussi. Pourquoi pas la Suisse ?

Il est temps de créer un Fonds souverain suisse :

  • adossé à de l’or, de l’immobilier stratégique, des infrastructures critiques, et des entreprises nationales

  • contrôlé par le Parlement et le peuple, pas par la technocratie bancaire

  • destiné à protéger les générations futures, pas à alimenter la spéculation

Un fonds souverain en actifs réels, c’est la sécurité d’après-demain.

6. Fin de l’immunité et audit de la BRI à Bâle

Sur notre sol, aucune institution ne doit être au-dessus de notre droit.

La Banque des Règlements Internationaux (BRI) à Bâle jouit :

  • de l’immunité diplomatique

  • de l’inviolabilité de ses archives

  • de l’extraterritorialité juridique

L’Histoire est formelle : les institutions qui s’arrogent ce type d’immunité finissent toujours impliquées dans des affaires criminelles majeures.

Exemples historiques :

  • Manipulation de l’or par la Banque d’Angleterre

  • Cartels bancaires dans les années 30

  • Blanchiment sous couvert diplomatique

  • Réseaux de financements occultes en Suisse (années 80–90)

⮕ Il faut auditer la BRI, lever les immunités, et publier les bénéficiaires réels de ses opérations.

7. Neutralité réelle — Fin immédiate des sanctions contre la Russie

La neutralité n’est pas un slogan. C’est un principe constitutionnel.

Sanctionner, c’est choisir un camp.

La neutralité, c’est refuser la logique de guerre, économique ou militaire.

8. Rétablir la souveraineté migratoire — Sortie de Schengen et fin de la libre circulation

Il n’y a pas de souveraineté politique sans contrôle des frontières.

Feuille de route :

  • Sortie de Schengen

  • Fin de la libre circulation

  • Fin du regroupement familial automatique

  • Contrôle suisse du droit d’établissement

9. Statut de saisonnier réservé aux jeunes – priorité à l’apprentissage suisse

Objectifs :

  • Travail temporaire sans implantation durable

  • Transmission de compétences

  • Protection du marché suisse

  • Priorité nationale à la jeunesse et à la formation

10. Autres axes immédiats de restauration

  • Interdiction constitutionnelle de la censure politique

  • Protection du cash comme bien public

  • Fin du vote électronique

  • Référendum obligatoire pour toute norme étrangère

  • Nationalisation stratégique des infrastructures critiques

Une vérité simple et brutale

Il n’y a pas :

  • de prospérité sans souveraineté

  • de paix sans neutralité

  • de démocratie sans maîtrise du droit

  • de liberté sans monnaie indépendante

Conclusion – Le choix vous appartient

Conseillers fédéraux, parlementaires, citoyens :

Vous pouvez encore restaurer la souveraineté suisse.

Ou bien, vous serez la génération qui l’a livrée.

L’Histoire ne retiendra pas les nuances.

Elle retiendra les actes.

Ceux qui auront résisté.

Et ceux qui auront accompagné la soumission.

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